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Dessins et plans | Photographie | Peinture | Oie | Grimm (les frères) | Contes de Grimm - Grimm | Or (métal) | Bordeaux (Gironde) -- Pont de pierre | Architecture | Météorologie | Nuages | Nimbostratus | Dix-neuvième siècle | Bordeaux (Gironde) | Piles électriques | Électricité -- Applications domestiques | Loisirs | Disques | Électrophones | Haute fidélité | ...
Vase de Tantale - première étape. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c392c0-vase-de-tantale-premiere-etape

Vase de Tantale - première étape

Schéma expliquant le principe du vase de Tantale, première étape : Le vase initialement vide est alimenté en eau par le robinet et se remplit lentement. Alimentation par le dessus et siphon intérieur. Le vase de Tantale est un exemple classique d'oscillations de relaxation. C'est un dispositif constitué d'une arrivée continue d'eau et d'un vase qui se vide périodiquement à l'aide d'un siphon. C'est donc un exemple de transformation d'un courant continu en courant alternatif, transposé au domaine mécanique plutôt qu'électrique. Il tire son nom du supplice de Tantale : si l'on imagine un homme se tenant en haut du vase, il verrait sans cesse l'eau approcher, puis se retirer dès qu'elle semble à portée.

Électrification du réseau de chemins de fer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dce3bd-electrification-du-reseau-de-chemins-de-fer

Électrification du réseau de chemins de fer

Carte de l'électrification du réseau ferré français en 2008 : Selon la largeur du trait sur la carte, la ligne est à voie unique, ou compte deux voies ou plus. Une ligne grise représente une ligne non-électrifiée ; une ligne verte, une ligne électrifiée en courant 1,5 kV continu ; une ligne orange, une ligne électrifiée en courant industriel 25 kV alternatif ; une ligne jaune enfin, une ligne électrifiée avec un autre type de courant. Les lignes à grande vitesse (électrifiées en 25 kV alternatif) sont représentées en rouge.

Ephémères de Virginie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad5b00-ephemeres-de-virginie

Ephémères de Virginie

Ephémères de Virginie, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Les Tradescantia ou setcréasées sont des plantes monocotylédones de la famille des Commelinaceae. C'est un genre regroupant des plantes herbacées venant d'Amérique, aux feuilles engainantes et aux fleurs à trois pétales. Elles sont appelées familièrement misères, en raison de leur tendance à coloniser les espaces, ou éphémères, car chaque fleur ne vit qu'une journée (mais la plante continue tout de même de fleurir au cours du temps). Certaines d'entre elles, telles les misères pourpres (Tradescantia pallida) sont appréciées pour leur feuillage décoratif en appartement. D'autres, comme l'éphémère de Virginie, sont appréciées dans les jardins de par leur feuillage et leur floraison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tradescantia

La rentrée de Loïc - 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/52304d2f-la-rentree-de-loic-6

La rentrée de Loïc - 6

LE CHAT NOIR : Mais bien sûr, j'aurais dû me douter que le nettoyage récent de mon aire de jeu favorite de cet été n'était pas à mon intention. Voilà donc l'intrus qui s'approprie mon territoire. Je crois qu'il sera plus prudent de me tenir à distance pendant la journée ; vivement la nuit. Quelle énergie ! il va continuer à grandir comme ça longtemps ?

Nimbostratus et courants d'air ascendants. Source : http://data.abuledu.org/URI/52340277-nimbostratus-et-courants-d-air-ascendants

Nimbostratus et courants d'air ascendants

Nimbostratus et forts courants d'air ascendants. Le nimbostratus est associé à des chutes continues de pluie, de neige ou de granules de glace qui atteignent dans la plupart des cas la surface terrestre. Sa base, floue à cause des précipitations, est grise et souvent sombre. Elle est fréquemment associée à des nuages bas déchiquetés, des pannus, soudés ou non avec elle.

Pont de Pierre de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148badb-pont-de-pierre-de-bordeaux

Pont de Pierre de Bordeaux

Bordeaux: "Pont de Pierre" vu de la flèche Saint-Michel : pont franchissant la Garonne à Bordeaux et reliant la rive gauche (cours Victor Hugo) au quartier de la Bastide (avenue Thiers). Il est inscrit monument historique depuis le 17 décembre 2002. Premier pont sur la Garonne, il est construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822. En 1816, Pierre Balguerie-Stuttenberg, prend la tête d'une association d'armateurs et de négociants bordelais afin de construire le pont de pierre, dont la construction nécessitait un financement complémentaire à celui de l'état. L'association propose au gouvernement d'apporter 2 millions de francs pour continuer les travaux. En échange une concession de l'exploitation du pont serait accordée pendant 99 ans avec un droit de péage. L'état accepte cette offre. Durant ces douze années, les ingénieurs, Claude Deschamps et son gendre Jean-Baptiste Billaudel, doivent faire face à de nombreux problèmes en raison du courant très fort à cet endroit-là. C'est grâce à une cloche à plongée empruntée aux Britanniques que les piliers du pont sont stabilisés. Il compte dix-sept arches (nombre de lettres dans le nom de Napoléon Bonaparte). Sur les côtés, chaque pile de briques est rehaussée d'un médaillon blanc en l'honneur de l'empereur. Il porte aussi les petites armoiries de la ville (les trois croissants entrelacés). L'ouvrage est achevé en 1821 pour le gros œuvre. Ce pont reste le seul pont bordelais permettant la circulation routière jusqu'à la construction du pont Saint-Jean en 1965.

Simplet, son oie et ses trois suivantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d2dbd0-simplet-son-oie-et-ses-trois-suivantes

Simplet, son oie et ses trois suivantes

Illustration par Leslie Brooke du conte de Grimm "L'oie aux plumes d'or" : Le lendemain, Simplet reprit son oie sous le bras et continua son chemin sans s'occuper des trois filles suspendues à l'oiseau. Et les voilà toutes trois courant derrière lui, un coup à droite, un coup à gauche suivant son bon gré.

Symbole de circuit électrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a96b9a-symbole-de-circuit-electrique

Symbole de circuit électrique

Symbole électronique d'une pile qui se réfère à la structure de la pile voltaïque. Chaque élément du couple oxydant/réducteur est relié à une électrode. Ces électrodes, lorsqu'elles sont reliées à un consommateur électrique, provoquent la circulation d'un courant électrique ; la réaction chimique provoque une circulation de charges (électrons, ions). Une pile fournit donc du courant continu. La borne (-) d'une pile correspond à l'anode où se produit la réaction d'oxydation qui va fournir les électrons. La borne (+) d'une pile correspond à la cathode où se produit la réaction de réduction qui va consommer les électrons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pile_%C3%A9lectrique

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Tourne-disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52483cdc-tourne-disque

Tourne-disque

Platine tourne-disques haute fidélité Thorens, des années 1980. Avec l’apparition des chaînes haute-fidélité, on a dissocié l’amplification de la lecture proprement dite, le tourne-disques étant alors désigné par le terme de platine ou de table de lecture. Ce dispositif est le seul à être encore couramment commercialisé pour un usage personnel. Les platines sont destinées à une reproduction de qualité sur un spectre de fréquences aussi large que possible, qui s’étend environ de 30 Hz à 18 kHz. Les exigences quant à leur fabrication sont donc considérablement plus strictes que celles imposées aux électrophones. Leur plateau a un diamètre légèrement supérieur à celui des disques microsillons de 30 cm et le niveau de bruit toléré est extrêmement faible, surtout aux basses fréquences. Elles sont équipées de moteurs à courant continu et d’une régulation électronique précise de la vitesse de rotation, ou de moteurs alternatifs synchrones qui mettent en rotation un plateau lourd par l’intermédiaire d’une courroie élastique. Leur tête de lecture est une tête magnétique, différente des têtes piézo-électriques, et délivre un signal électrique considérablement plus faible, de l’ordre de 5 mV environ. Elles nécessitent un préamplificateur spécial qui respecte rigoureusement la norme RIAA. Un tel préamplificateur, désigné sous le nom de préamplificateur correcteur, est en général inclus dans les équipements Hi-Fi de bonne qualité, mais peut aussi être installé dans un boîtier séparé.